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Le deuxième acte de l’intelligence : le jugement

Le deuxième acte de l’intelligence : le jugement

il y a 1 semaine
Prof Philo

Dans cette partie du cours nous allons nous centrer sur le deuxième acte de l’intelligence, c’est-à-dire le jugement, voici l’article au format PDF : le jugement. Je m’appuie toujours sur le livre Socratic Logic de Peter Kreeft. Je rappelle que le premier acte est la compréhension et que le troisième et dernier acte de l’intelligence est le raisonnement. Je rappelle aussi que la tradition thomiste utilise parfois la notion d’opération de l’intelligence plutôt que la notion d’acte de l’intelligence. Pour avoir un aperçu d’ensemble des 3 actes ou 3 opérations de l’intelligence, vous pouvez lire l’article sur le fonctionnement de l’intelligence. Par ailleurs, la notion de démonstration désigne plutôt un raisonnement déductif certain, c’est-à-dire qui possède des prémisses vraies et dont la structure argumentative est valide. Une démonstration est donc un type particulier de raisonnement comme l’induction en est un autre type.

Distinction entre jugements, propositions, et phrases

Le jugement est le deuxième acte de l’intelligence. Il produit un résultat logique que l’on nomme proposition. Ce résultat logique va être exprimé, pour être partagé avec les autres êtres humains, sous la forme d’une phrase déclarative.

Ainsi, de même qu’il faut distinguer le concept, le terme, et le mot, il est bon de distinguer le jugement, la proposition, et la phrase déclarative. De même, quand nous aborderons le troisième acte de l’intelligence, le raisonnement, il faudra distinguer, le raisonnement, le syllogisme et le paragraphe. Le concept, le jugement et le raisonnement sont des actes de l’intelligence ou des opérations de notre esprit. Les termes, les propositions et les syllogismes sont les produits spirituels respectifs de ces actes. Les mots, les phrases déclaratives et les paragraphes sont les expressions écrites ou orales qui expriment les fruits de ces trois actes.

Seules les propositions sont vraies ou fausses. Les termes sont seulement clairs ou confus. Les prémisses et la conclusion d’un syllogisme sont des propositions, en ce sens, elles peuvent être vraies ou fausses. Cependant le syllogisme en lui-même, c’est-à-dire sa structure argumentative, n’est ni vrai ni faux, mais valide ou invalide. Quand on dit qu’un raisonnement est faux, cela veut dire soit que les termes utilisés dans les phrases déclaratives sont confus, soit que les phrases déclaratives sont fausses, soit que le raisonnement en lui-même ne préserve pas la vérité, il est invalide.

Il faut retenir que les propositions sont toujours exprimées par des phrases déclaratives. En effet, seules les phrases déclaratives ont un rapport direct avec le vrai ou le faux, avec une connaissance du réel. Les autres types de phrases sont importants mais n’entretiennent pas le même rapport avec le vrai ou le faux. Les phrases interrogatives ne disent pas le vrai ou le faux même si elles cherchent à le connaître. Les phrases exclamatives expriment davantage les émotions que la connaissance du réel. Enfin, les phrases performatives veulent produire un effet dans le réel. Elles ne cherchent pas à connaître le réel.

Importance de la qualité de nos jugements

Le deuxième acte de l’intelligence est important car la vérité ne se situe qu’au niveau des propositions, et non au niveau des termes, qui sont jugés sur leur clarté, et des syllogismes, qui sont jugés sur leur validité. Or la vérité est ce qui motive notre raison, ce qu’elle recherche, ce qu’elle veut atteindre comme son plus grand bien.

Peter Kreeft précise (p. 139) qu’il est important en logique mais aussi pour notre propre éducation, notre civilisation, et notre honnêteté, de distinguer deux choses qui se produisent en même temps en nous, quand nous lisons ou quand nous entendons ce que les autres déclarent. Nous avons en nous à la fois le contenu de ce qu’ils déclarent et les réactions émotionnelles que ces contenus déclenchent en nous. Le contenu est objectif (si nous sommes fidèles à ce qui a été écrit ou dit), les réactions émotionnelles sont subjectives, elles sont fonction de l’interaction entre ce contenu objectif et notre vécu personnel, nos désirs, nos peurs, nos ressentiments accumulés, nos émotions et nos sentiments en général, ainsi que les produits de notre imagination. Ce contenu objectif n’est pas toujours compris. Avant même la compréhension, la sensibilité et l’imagination peuvent avoir corrompu notre intelligence.

Le problème, ce serait de confondre les deux et de prendre notre réaction émotionnelle comme source de vérité. Il faut d’abord bien distinguer ce qui a été dit de ce que nous ressentons par rapport à ce qui a été dit. Nos émotions peuvent effectivement être déclenchées par ce qui a été dit, mais elles peuvent aussi être déclenchées par ce que nous croyons ou interprétons ainsi que par notre histoire personnelle. Il n’est pas sûr que nous ayons toujours bien compris ce qui a été dit. Il faut d’abord le vérifier. C’est pourquoi, il est important de se focaliser sur les propositions pour déterminer d’abord ce qui a été dit. De même, si nous n’arrivons pas à bien saisir les concepts qui correspondent aux mots utilisés par l’auteur, il nous faut le questionner pour les clarifier.

Peter Kreeft, regardant l’évolution de son propre pays, soutient qu’en un siècle d’éducation de masse, la qualité de la lecture et celle de l’écoute ont eu tendance à se dégrader. L’interprétation émotionnelle est devenue fréquente. Il est donc important de bien distinguer ce que les textes ou les paroles disent réellement de ce que nous croyons qu’ils disent. Pour améliorer notre capacité à discerner ce qu’ils disent réellement, il est donc essentiel de distinguer en nous leur contenu logique, de notre propre réaction émotionnelle vis-à-vis de ce contenu. Il n’y a rien de problématique à ressentir des réactions émotionnelles concernant certains propos. Ce qui est problématique, c’est de laisser nos émotions se substituer au travail de l’intelligence. On commet alors cette erreur très fréquente : mettre les émotions au-dessus de l’intelligence alors qu’elles doivent toujours rester en dessous, puisque ce ne sont pas nos émotions qui connaissent le réel de manière fiable mais bien notre intelligence.

Peter Kreeft fait la remarque plus loin dans son livre (p. 185) que la différence entre notre intelligence et notre sensibilité, c’est que notre intelligence permet de faire des distinctions conceptuelles précises pour clarifier les informations reçues par la réalité, tandis que notre sensibilité nous fait éprouver une émotion ou plusieurs émotions combinées qu’elle n’arrive pas par elle-même à distinguer. Toute distinction, distinction conceptuelle comme distinction émotionnelle, requiert le travail de l’intelligence. Ainsi, si nous nous laissons emporter par nos émotions, nous serons incapables d’utiliser correctement notre intelligence. Elle risque même d’être mise au service de nos émotions alors qu’elle devrait plutôt servir à les distinguer pour réussir à mieux les tempérer. C’est là qu’on comprend pourquoi la vertu de tempérance est si importante. Elle n’est pas importante seulement pour maintenir une bonne relation avec autrui, mais elle est essentielle à toute recherche de vérité sérieuse. Il n’y a donc pas de bon scientifique sans tempérance. Un scientifique sans tempérance se transforme très vite en idéologue. Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur l’importance des vertus dans toute recherche scientifique, je vous recommande le livre du philosophe français Roger Pouivet, L’éthique intellectuelle, une épistémologie des vertus, aux éditions Vrin.

L’un des bons remèdes à cette erreur qui consiste à confondre le contenu logique d’une proposition et notre réaction émotionnelle personnelle, c’est de procéder à l’analyse logique des propositions que nous lisons ou que nous entendons. Cette analyse demande de la précision, un recul émotionnel, et, surtout, du temps. Pour l’acquisition sereine du savoir, il faut donc réaliser trois actes différents :

  1. Penser clairement, c’est-à-dire maîtriser les trois actes de l’intelligence que sont :
    1. La compréhension en choisissant des termes clairs ;
    2. Le jugement en choisissant des propositions vraies ;
    3. Le raisonnement en choisissant des syllogismes valides ou des inductions probables.
  2. S’exprimer correctement, ce qui veut dire maîtriser suffisamment la langue :
    1. Pour bien choisir les mots qui traduisent au mieux nos termes ;
    2. Pour bien choisir les phrases qui traduisent au mieux nos propositions ;
    3. Pour bien choisir les paragraphes qui traduisent au mieux nos syllogismes et nos inductions probables.
  3. Interpréter correctement ce que les autres disent, c’est-à-dire :
    1. Repérer les concepts qui correspondent aux mots utilisés ;
    2. Repérer les jugements qui correspondent aux phrases utilisées ;
    3. Repérer les raisonnements qui correspondent aux paragraphes utilisés ;
    4. Distinguer en nous les contenus logiques de nos réactions émotionnelles ;
    5. Essayer de distinguer en l’autre ses contenus logiques de ses réactions émotionnelles. Cette dernière distinction est plus difficile à faire car il n’est pas simple de déterminer avec certitude ce que ressent autrui. Nous pouvons nous tromper dans l’interprétation de ses émotions en raison de notre méconnaissance partielle de son histoire personnelle.

Sujet et prédicat

Une fois que notre esprit a compris la nature de quelque chose, son essence, en formant en lui un concept lui correspondant, il va essayer de mettre en relation les différents concepts qu’il possède déjà avec ce nouveau concept. Il va juger. Par exemple, quand nous apercevons un grand oiseau blanc se poser derrière un tracteur qui laboure la terre, nous allons regarder son bec pour déterminer sa forme et sa taille. Cela nous permettra de distinguer si cet oiseau blanc est un héron garde-bœuf ou si c’est une aigrette garzette. Si nous jugeons que cet oiseau blanc a un bec jaune-orangé assez court, nous pourrons en déduire que c’est un héron garde-bœuf. En revanche, si son bec est long et noir, ce sera sans doute une aigrette garzette. Pour réussir à faire cette bonne déduction, il faut d’abord juger. Il faut juger que cet oiseau blanc possède un bec jaune-orangé, il faut attribuer au sujet « oiseau blanc » le prédicat « doté d’un bec jaune-orangé ». Il faut relier des concepts déjà connus, oiseau, blanc, bec, jaune et orange, de telle manière que nous puissions former par notre intelligence un jugement qui produit cette proposition : « cet oiseau blanc est doté d’un bec jaune-orangé ». Le prédicat représente alors une propriété du concept visé par le sujet.

Hérons garde-bœufs autour d'un tracteur
Hérons garde-bœufs autour d’un tracteur

Le sujet, c’est ce dont on parle. Le prédicat, c’est ce que l’on dit du sujet. C’est assez facile d’identifier le sujet et le prédicat d’une proposition quand on a fait un peu de grammaire. En effet, les sujets et prédicats logiques sont généralement les mêmes que les sujets et prédicats grammaticaux. Par ailleurs, le sujet et le prédicat ne sont pas interchangeables. L’attribution d’une propriété, qui se fait par l’intermédiaire du verbe être (la copule), ne possède pas les mêmes propriétés logiques que l’opération d’égalité. On peut certes dire « [latex]2+2=4[/latex] est équivalent à [latex]4=2+2[/latex] » mais on ne peut pas dire que « l’oiseau blanc est doté d’un bec jaune-orangé » est équivalent à « Le bec jaune-orangé est doté d’un oiseau blanc ». L’attribution d’un prédicat à un sujet dans une proposition n’est pas une relation symétrique comme l’est la relation d’égalité.

Il existe différentes formes de propositions, il y a les propositions catégoriques qui sont formées seulement d’un sujet et d’un prédicat reliés par le verbe être, et les propositions composées, qu’on appelle aussi propositions hypothétiques, qui relient plusieurs propositions catégoriques. Il faut aussi distinguer les phrases catégoriques ou composées des phrases impératives, interrogatives, exclamatives et performatives. Cependant, pour commencer, il est bon de maîtriser d’abord les propositions catégoriques et leurs expressions linguistiques correspondantes.

Les 4 sortes de propositions

Chaque proposition possède une matière, un contenu, et une forme, une structure. La matière d’une proposition correspond aux deux termes qu’elle possède, le sujet et le prédicat. Le contenu de ces deux termes peut varier infiniment. Les propositions peuvent en effet aborder des sujets fort variés. En revanche, la forme d’une proposition catégorique ne possède que deux variables : la quantité et la qualité.

La quantité d’une proposition correspond au nombre de sujets qui sont concernés par ce qu’elle dit : tous ou seulement quelques-uns. La quantité est en effet soit universelle (tous) soit particulière (quelques-uns). La qualité d’une proposition correspond au fait qu’elle soit affirmative, si le prédicat est affirmé pour le sujet, ou négative, si le prédicat est nié pour le sujet. Ainsi la matière d’une proposition correspond aux deux termes, et sa forme nous dit comment ces deux termes (le sujet et le prédicat) sont reliés l’un à l’autre.

Comme une proposition peut être soit universelle soit particulière en quantité et soit affirmative soit négative en qualité, nous avons quatre possibilités :

  1. A : Les propositions universelles affirmatives, par exemple : « Tous les hommes sont mortels » ;
  2. E : Les propositions universelles négatives, par exemple : « Aucun homme n’est mortel » ;
  3. I : Les propositions particulières affirmatives, par exemple : « Quelques hommes sont mortels » ;
  4. O : Les propositions particulières négatives, par exemple : « Quelques hommes ne sont pas mortels ».

Le choix des lettres A, E, I, O vient d’une tradition mnémotechnique latine. J’affirme se dit en latin : affirmo. Les logiciens ont donc mémorisé : « AffIrmo ». Je nie se dit en latin : nego. Ils ont alors mémorisé : « nEgO ». À chaque fois la première voyelle mémorisée désigne les propositions universelles, et la seconde voyelle mémorisée les propositions particulières.

Pour être plus précis, les propositions singulières ne sont pas les mêmes que les propositions particulières. Une proposition singulière ne vaut que pour un seul individu, alors que les propositions particulières valent pour au moins un individu. Les logiciens ont constaté qu’il suffisait de considérer qu’une proposition singulière était une proposition universelle qui caractérisait l’intégralité de l’individu concerné, le tout de l’individu concerné. Ainsi nous avons bien seulement quatre formes possibles de propositions et non pas six. Les propositions singulières comme « Socrate est mortel » sont considérées comme des propositions universelles.

Il est possible aussi d’augmenter la difficulté concernant l’analyse des formes possibles des propositions en considérant que les opérateurs modaux comme possible, probable, nécessaire changent la nature de la forme considérée. Depuis le vingtième siècle, la branche de la logique qui s’intéresse à ces connecteurs modaux s’appelle la logique modale. Il n’entre pas dans l’objectif de ce cours de présenter la logique modale, même si ce sont des thèmes fort intéressants. Nous ne considérerons donc ici que les quatre formes classiques de proposition.

La forme logique des propositions

Il est bon de reformuler les propositions du langage courant sous forme de propositions catégoriques. Cela permet de comprendre plus clairement ce qu’elles disent et de calculer plus précisément si les arguments qui contiennent ces propositions sont valides ou non. Les propositions catégoriques peuvent s’écrire ainsi, en écrivant S pour Sujet et P pour Prédicat :

  1. A : les propositions universelles affirmatives s’écrivent : Tout [S] est [P] ;
  2. E : les propositions universelles négatives s’écrivent : Aucun [S] n’est [P] ;
  3. I : les propositions particulières affirmatives s’écrivent : Quelques [S] sont [P] ;
  4. O : les propositions particulières négatives s’écrivent : Quelques [S] ne sont pas [P].

Prenons quelques exemples :

  • Langage ordinaire : « Les oiseaux volent » ;
  • Forme logique : Tous [les oiseaux] sont [des choses qui volent] —> A ;

  • Langage ordinaire : « Les mortels n’atteindront jamais la perfection absolue » ;
  • Forme logique : Aucun [mortel] n’est [ celui qui atteindra la perfection absolue un jour] —> E ;

  • Langage ordinaire : « Tout ce qui brille n’est pas de l’or » ;
  • Forme logique : Certaines [choses qui brillent] ne sont pas [des choses en or] —> O.

Cela peut sembler fastidieux voire inutile de remplacer les propositions du langage ordinaire par leurs formes logiques. Cependant, Peter Kreeft nous conseille de le faire pour éviter de faire des erreurs de raisonnement. Cette mise en forme permet de mieux repérer ce que nous voulons dire et évite de nombreuses erreurs. Encore faut-il prendre le temps de s’entraîner !

Vous trouverez plus de précision dans le livre Socratic Logic de Peter Kreeft, cela serait trop long de tout exposer ici. Retenez cependant qu’il faut connaître les quatre sortes de proposition et savoir remplacer les propositions du langage ordinaire par leurs formes logiques pour pouvoir bien clarifier nos raisonnements et repérer plus facilement leur structure. C’est la condition pour éviter d’utiliser des raisonnements invalides. Il est plus facile de se tromper avec le langage ordinaire qu’avec les formes logiques correspondantes. Bien évidemment, tout cela demande un long apprentissage que, malheureusement, l’école n’organise plus.

La contradiction

Comme nous le rappelle Peter Kreeft, en logique la notion de contradiction ne désigne pas la relation psychologique et subjective entre deux êtres humains qui sont en désaccord, mais la relation logique et objective entre deux propositions qui ne peuvent pas être vraies en même temps ou fausses en même temps. Il est crucial en logique de savoir quand deux propositions se contredisent et quand elles ne le font pas. Le manque de clarté concernant ce sur quoi portent les contradictions explique pourquoi nos débats controversés sont souvent stériles et n’arrivent pas à indiquer où se trouve la vérité.

Pourtant, les conditions qui permettent de repérer les contradictions sont très simples, très rigoureuses et ont aussi une portée très limitée. Deux propositions se contredisent l’une l’autre seulement quand la vérité de l’une signifie nécessairement la fausseté de l’autre, et quand la fausseté de l’une signifie la vérité de l’autre. Cela n’arrive qu’entre des propositions qui possèdent les mêmes sujets et prédicats, et qui diffèrent à la fois en quantité et en qualité.

Il n’y a que deux ensembles de propositions contradictoires :

  1. Les propositions ayant pour formes : « Tout S est P » et « Quelques S ne sont pas P » ; —> A et O ;
  2. Les propositions ayant pour formes : « Aucun S n’est P » et « Quelques S sont P » ; —> E et I.

Il est donc plus facile de repérer les contradictions quand les propositions du langage ordinaire sont mises sous leur forme logique. Cela demande du temps et de la précision.

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